Aucun doute possible, la Haute-Loire a son inimitable génie
Vous le savez, chez Altilimag, nous ne croyons plus depuis longtemps aux hasardeuses rencontres. Le tissu artisanal local est d’une telle richesse que nous remercions tout particulièrement les passionnés que nous avons découverts et dont nous vous avons conté les talentueuses aventures.
Une fois de plus, nous avons été dirigés vers un artisan par la voix d'un autre. Il faut le croire, c'est là toute l'essence de la définition du mot entraide locale.
Nous avions rencontré Fabien Dreyfus sur les marchés artisanaux de Haute-Loire, notamment celui de Tence et celui estival et nocturne de Saint Jeures. Sur son stand, aussi intrigant qu’attirant, l’artiste tourneur sur bois nous avait dépêché un sourire complice sur lequel nous n’avions plus qu’à appuyer notre frénétique curiosité.
Comme par évidence, le contact est pris et c’est à Montfaucon, chez lui, au calme, que nous avons rejoint le tourneur d’Anticbois pour ne pas le déranger sur ses lieux de vente. À cet instant nous découvrons un homme particulièrement singulier qui avec une sincérité verbale nous exprime sa façon de vivre le bois en tant qu’artisan.
Nous sommes allés à la rencontre d’une artisane atypique qui pratique le métier de vitrailliste. Un métier hors du commun et assez rare sur le territoire altiligérien pour que cela nous ait intrigués et donné l’envie d’aller voir de plus près ce qui rayonne autour de ce métier d’art.
Élisabeth Cuffel, animée par les couleurs depuis toujours, ne peut imaginer sa vie sans l’essence chromatique qui l’entoure. C’est lors d’une rencontre avec une vitrailliste qui exposait à la célèbre fête ponote du Roi de L’oiseau, que le déclic s’est produit. Elle décida alors d’allier son besoin continuel de couleur et ce nouvel art qui se propose à ses yeux.
Une aventure de groupe extraordinaire proposée par Marie-Paule de Bas-en-Basset
Quand la possibilité de vivre une nouvelle aventure sonne à votre porte, il serait absurde de ne pas quitter ses charentaises. Marie-Paule, une grande amie d’Altilimag, tenait à nous faire découvrir une partie du patrimoine historique de son petit coin de paradis altiligérien. Nous ne nous sommes pas fait prier plus longtemps, nous avons chaussé nos crampons et suivi notre guide survitaminée sur les traces des mines de fer de Bas-en-Basset.
Hervé Vial nous a ouvert les coulisses de son restaurant de Tence pour le plaisir de nos yeux et de nos papilles.
Au cœur d'une brigade masquée, calot sur la tête, l'excellent Maître Restaurateur Hervé Vial, accompagné de son épouse Béatrice, du restaurant De La Poste, nous a dévoilé en live les secrets de sa Pancetta. Alors certes la recette est d'origine italienne mais la réalisation n'en est pas moins chauvine. Le porc est altiligérien, tout autant que les ingrédients qui l'accompagnent en cuisson.
Une curiosité exacerbée mène droit vers la passion de l’artisanat dans toute sa diversité.
Depuis toujours, sa vie est rythmée par la curiosité. Après quelques années de tanneur au Puy-en-Velay, David Riffard, de son nom d’emprunt "Riff", s’est pris de passion pour les nombreuses matières premières qu’il manipule, ainsi que les corps de métier y afférant.
Si autrefois, il s'agissait d'un amusant "hobby", aujourd’hui, il s’enrichit en permanence des différents savoir-faire et techniques de travail jusqu’à être devenu lui-même un artisan émérite.
Serrez vos plumes, Bruno déploie ses aigles.
Bruno Habauzit, comme un Gaulois, est tombé dedans quand il était petit ! Ébahi devant la beauté de ces oiseaux si particuliers et enivré par une première expérience à l’âge de 8 ans, il a su dès cet instant magique que la fauconnerie
serait le fil conducteur de sa vie. Il nous présente avec passion son amour pour les rapaces et ce qu’ils ont de si important à nous apprendre d’eux.
Visite insolite dans les recoins inexplorés de la Basilique Saint-Julien de Brioude.
Avec l’accord et la participation du Père de Veyrac, nous nous sommes immiscés dans les coulisses de la Basilique Saint-Julien, dont il est le fervent gardien. Sans aucun doute, ce reportage restera l’une des aventures les plus excitantes que nous ayons eu l’occasion de vivre.
Si vous croyez connaître l'Histoire de la Seconde Guerre mondiale c'est que vous n'avez pas encore rencontré Monsieur Capelani !
À Frugières-le-Pin, tout près de Brioude et de Lavaudieu, il y a un homme, ou plutôt un personnage, que tous les passionnés d'histoire
devraient rencontrer sans plus tarder. Grâce à Nathan, nous avons pu rencontrer ce dernier et nous rendre au Musée de la Résistance Joseph Lhomenède. Son conservateur Monsieur Capelani, que nous remercions, nous a ouvert ses portes pour une visite privée.
Prenez de la hauteur et testez les vingt voies d'escalade du Rocher Tourte.
Nous vous en parlions dans notre découverte du Fin Gras du Mézenc. Le Rocher Tourte à l'attraction macrosismique qui nous faisait face
lors de notre reportage, n'est autre qu'un site exceptionnel pour les grimpeurs et autres varappeurs rompus à ce sport très nature.
Le tourneur sur bois Dominique Rochet sublime les essences et ambiance la lumière.
Céaux d'Allègre, vous connaissez ?
Ou plus exactement Maméas Bas ?
C'est dans ce petit bourg que nous avons fait la rencontre la plus lumineuse de notre jeune existence rédactionnelle. Dominique, dans son atelier pas comme les autres, saisit la vie du bois et en exalte la lumière avec beaucoup de poésie.
Il existe des sensibilités qui nous sont étrangères, souvent ressenties, mais rarement ostensibles.
C'est là que tout commence, l'émulsion se fait ici, en grande partie grâce au village et ses habitants. Vinciane Liners nous a ouvert ses portes à Saint-Privat-d'Allier. Elle décode pour nous la manière dont certaines sensibilités forestières se manifestent lorsqu'elle explore le magnétisme des rives du Rouchoux, ruisseau de son état, mais non moins tumultueux par son énergie débordante.
Le Château de Volhac.
Comme promis, nous revoilà !
Nous avons donc rejoint Juliette à Coubon au château de Volhac. Ce dernier, peu visible du côté de la route principale traversant la ville, est bien dissimulé derrière une résidence pavillonnaire récente. Cela lui confère un côté mystérieux qui n’est pas pour nous déplaire.
Rassurez-vous, il est tout de même indiqué sur la D37 en venant de Brives-Charensac, peu après le rond-point avec en son centre un château miniature.