D'ancien métier, il en est un que François-Christophe Januel exerce avec passion et talent.
La Haute-Loire possède un patrimoine très riche, mais il se peut que celui, dont nous allons vous parler, soit peu ou mal connu. L'architecture vernaculaire est souvent la preuve qu'ici se jouent des métiers mystérieux et pourtant visibles à chaque coin du département. Nous avons rencontré François-Christophe Januel et il nous a présenté son métier, celui de murailler.
Ce métier artisanal et artistique consiste à bâtir des ouvrages en pierres sèches. Ce qui signifie tout simplement qu'il n'y a aucun mortier pour lier les pierres entre elles.
Tout réside dans l'art de les choisir, de les positionner et de les caler.
Partons à la découverte de ce métier d'antan qui fait un retour en force dans le milieu de l'artisanat.
Le Château de Volhac.
Comme promis, nous revoilà !
Nous avons donc rejoint Juliette à Coubon au château de Volhac. Ce dernier, peu visible du côté de la route principale traversant la ville, est bien dissimulé derrière une résidence pavillonnaire récente. Cela lui confère un côté mystérieux qui n’est pas pour nous déplaire.
Rassurez-vous, il est tout de même indiqué sur la D37 en venant de Brives-Charensac, peu après le rond-point avec en son centre un château miniature.
Le charme seigneurial d’un château gardien de son histoire dans une nature très protégée.
"Des châteaux pas comme les autres"
La série se poursuit et dans la continuité de notre collaboration avec Juliette Crouzet, voici la découverte d’un nouveau joyau médiéval préservé des épreuves du temps : le château de LESPINASSE. C’est à Saint-Beauzire (en Haute-Loire, nous précisons, car il existe un homonyme dans le Puy-de-Dôme) entre les rivières Allier et Allagnon que nous découvrons cette beauté architecturale.
Rudolf Harywald fait de sa volonté un soc d'acier et forge un sillon artisanal altiligérien.
Brut de trempe, C45, XC75, annuler les stress, traitement thermique, normalisation... D'emblée, le ton du bal de Rudolf est donné. Nous sommes à la fois à l'usine, en pleine science-fiction, au moyen-âge et dans les codes confidentiels d'un nouveau modèle automobile.
Baptiste Granjon nous dévoile une hypothèse réaliste du véritable emplacement de Gergovie à Saint-Maurice-de-Lignon.
Après de longues années de recherches personnelles, selon les écrits de la guerre des Gaules par César lui-même ainsi que ceux de Strabon1, Baptiste vous dévoile dans ce numéro d’Altilimag, son hypothèse et sa théorie sur le véritable emplacement de Gergovie.
Entre réalités techniques, géographiques et découvertes archéologiques, il nous démontre comment la ville de Saint-Maurice-de-Lignon a pu être témoin de la défaite cuisante de César contre Vercingétorix lors de cette mythique bataille en -52 av. JC.
À Saint-Julien-d'Ance la géologie joue des tours à elle-même.
Quand vous entendez parler de révolution géologique votre curiosité peut être prise à partie. C'est bien ce qui nous est arrivé quand Tim, fan d'Altilimag des premières heures, nous a raconté qu'à quelques petits kilomètres d'Yssingeaux (une trentaine pour être honnête) existe un site géologique hors du commun et surtout d'une beauté à couper le souffle. Il ne nous en aura pas fallu plus pour chausser nos crampons et nous rendre sur place voir ce que ces lieux ont de si magnifique à nous dévoiler.
Tout vient un jour, mais souvent pas assez tôt.
Ce ne sont pas des regrets intimes, mais Calliope, céramiste talentueuse, aurait aimé travailler la terre bien plus tôt dans sa vie. Après avoir "bourlinguer" entre la Grèce, son pays d'origine et la France, elle découvre, en 2004 à Lyon, la peinture sur porcelaine. Immédiatement séduite par ce contact créatif qui libère chez elle toute l'endorphine dont elle a besoin, elle multiplie les stages d'apprentissage et s'aperçoit très vite que sa soif d'apprendre risque de rester inassouvie si elle ne se cantonne qu'à peindre la matière.
Aux confins de la Haute-Loire, à la sortie de Blesle, nous avons partagé un moment avec une drôle de Damoiselle.
À croire que tout est toujours le fruit d’une passion, notamment dans l’artisanat. La Haute-Loire est un pays connu pour ses nombreuses brasseries artisanales. Un territoire aux valeurs éclectiques et foisonnantes où s’entremêlent savoir-faire, prodigalité locale et émotion. Cet évident patrimoine nous a conduit jusqu'à la Brasserie de l’Alagnon où Thomas et Charlie nous ont appris comment ils arrangent leurs Damoiselles.
Des insectes peu ordinaires et pourtant si fragiles ; rencontre avec Label Ruche au Puy-en-Velay.
Tout le monde le sait ! Aujourd’hui plus que jamais nous devons sauver nos abeilles, il en va de notre bien-être et de notre avenir ! Chacun y va de sa veille personnelle, mais qui est en mesure d’apporter des solutions pérennes pour la préservation de nos petites bêtes ? Nous avons rencontré Aurore et Frédéric TREILLE, les créateurs de Label Ruche au Puy-en-Velay. Frédéric passionné de toujours par ces “petites bêtes qui piquent” passe à l’action. Si pour beaucoup il est un apiculteur comme les autres, il n’en met pas moins son énergie au profit de la préservation de cet insecte endémique. Mais nous sommes loin de sa vision des choses et du déploiement d’actions que lui et son épouse Aurore ont su mettre en place pour que tout un chacun puisse, lui aussi, venir en aide à cette indispensable créature volante.
Le Suc du Lizieux
Le Suc du Lizieux au coucher du soleil d’été est un spectacle saisissant.
La beauté extraordinaire qu’offrent les couleurs fluctuantes dans ce paysage unique et grandiose, vous couperont le souffle.
Mais ce Suc si atypique, regorge de bien d’autres trésors visuels.
Au départ du parking du Chièze suivez-nous pour une ascension
au cœur d’une nature séculaire...
Entre deux ruches, il peut y avoir un monde de différences.
Il y a quelques mois, nous vous parlions de nos amies les abeilles et de quelle manière l'homme intervenait dans la destruction de son milieu naturel, mais également dans sa préservation. En ces temps où le mot néonicotinoïdes est presque sur toutes les lèvres du monde apicole, mais pas seulement ; ceux qui vivent avec l'écologie en toile de fond y sont aussi très attentifs, nous avons souhaité aborder à nouveau ce sujet, sur son versant professionnel cette fois-ci.
Serrez vos plumes, Bruno déploie ses aigles.
Bruno Habauzit, comme un Gaulois, est tombé dedans quand il était petit ! Ébahi devant la beauté de ces oiseaux si particuliers et enivré par une première expérience à l’âge de 8 ans, il a su dès cet instant magique que la fauconnerie
serait le fil conducteur de sa vie. Il nous présente avec passion son amour pour les rapaces et ce qu’ils ont de si important à nous apprendre d’eux.
Si vous croyez connaître l'Histoire de la Seconde Guerre mondiale c'est que vous n'avez pas encore rencontré Monsieur Capelani !
À Frugières-le-Pin, tout près de Brioude et de Lavaudieu, il y a un homme, ou plutôt un personnage, que tous les passionnés d'histoire
devraient rencontrer sans plus tarder. Grâce à Nathan, nous avons pu rencontrer ce dernier et nous rendre au Musée de la Résistance Joseph Lhomenède. Son conservateur Monsieur Capelani, que nous remercions, nous a ouvert ses portes pour une visite privée.
Trésor des Mercœur en lumière à Esplantas
Dans le Gévaudan, il n’y a pas que la bête sur qui l’on peut «conter».
De l’an 994 à l’an 1048, Saint Odilon de Mercœur s’illustre en tant qu’Abbé de Cluny en France, mais aussi dans toute l’Europe. Deux cents ans plus tard, au XIIIe siècle, un nouvel Odilon de Mercœur est à la tête de la seigneurie de Saugues. Ce très proche du Roi de France*, Baron de presque toute l’Auvergne devient évêque de Mende en 1247. Malgré ce statut enviable et la puissante famille qu’il représentait au travers des neuf baronnies en son pouvoir, il fit face à des contestations mettant sa légitimité à l’épreuve.
Nous avons découvert la passion naturelle de Philippe pour l'électricité embarquée.
Nous sommes allés tester l'engin le plus en vogue du moment ; la trottinette électrique. Cet engin, idéal pour l'environnement, est un véritable moyen de parcourir les paysages altiligériens sans la moindre fatigue. D'une stabilité redoutable, il permet à tous les "éco-sportifs" novices ou experts, de s'adonner au plaisir de la randonnée de façon ludique, sportive ou en mode détente tout en respectant la nature.
Le conservateur du musée de la Résistance
Joseph Lhomenède nous invite de nouveau à
découvrir un "petit bout" de la seconde partie
de la collection de l'association du musée.
Comment ne pas craquer quand un trésor de guerre ne demande qu’à jouer la star devant nos objectifs ? Vous vous en doutiez depuis le numéro précédent d’Altilimag, nous sommes évidemment retournés sur place pour poursuivre cette aventure incroyable.
Cachée dans un havre de paix bucolique proche de Saint Jeures, Jacques a implanté depuis deux années sa distillerie pas comme les autres. Nous avions entendu parler d'un personnage qui allait élaborer un whisky altiligérien, alors bien entendu nous sommes allés à sa rencontre.
> LIRE
Richard, ancien ébéniste, met en formes son imagination fertile.
Parfois l'artisanat domine l'artiste. Richard Thorron ne se laisse pas dominer. Des mains impatientes guidées par une imagination insatiable le mènent à la réalisation de sculptures contemporaines. Entrons en immersion dans son univers atypique, mais non moins dompté.
Une jolie randonnée au cœur
de collines et de sucs.
Entre hameaux de charme, sous-bois rafraîchissants et vues spectaculaires, profitez de l'Emblavez comme jamais vous ne l'aviez vu auparavant. Une randonnée familiale avec très peu de difficultés.
Entre histoire et sciences l'horizon du Velay vous livre son point de vue.
C'est au cœur des balcons du Velay que nous vous proposons de découvrir la célèbre église de Lapte. Au sommet de cette petite ville, au charme altiligérien assumé, chargée d'histoire et de légendes, l'église est nichée entre eaux généreuses en bienfaits pour notre santé et granit imprégné d'énergie mystique. Elle a traversé les siècles laissant son empreinte historique indéfectible en Haute-Loire. La plus ancienne référence à cette ville et son église date d'entre 1021 et 1028 sur une charte rédigée au Cartulaire
de Chamalières-sur-Loire en Velay, prieuré conventuel dépendant de l'abbaye de Saint-Chaffre.