Une aventure de groupe extraordinaire proposée par Marie-Paule de Bas-en-Basset
Quand la possibilité de vivre une nouvelle aventure sonne à votre porte, il serait absurde de ne pas quitter ses charentaises. Marie-Paule, une grande amie d’Altilimag, tenait à nous faire découvrir une partie du patrimoine historique de son petit coin de paradis altiligérien. Nous ne nous sommes pas fait prier plus longtemps, nous avons chaussé nos crampons et suivi notre guide survitaminée sur les traces des mines de fer de Bas-en-Basset.
Une jolie randonnée au cœur
de collines et de sucs.
Entre hameaux de charme, sous-bois rafraîchissants et vues spectaculaires, profitez de l'Emblavez comme jamais vous ne l'aviez vu auparavant. Une randonnée familiale avec très peu de difficultés.
Suc de Chapteuil
Ancienne cheminée volcanique, le suc de Chapteuil abrite les vestiges du siège administratif des seigneurs de Chapteuil qu'on appelait les Comtors du Velay. Ils étaient, au Moyen-âge, les Barons les plus puissants des contrées vellave et yssingelaise. Le suc surplombe la belle cité de Saint-Julien-de-Chapteuil ainsi que la vallée capitolienne.
Nous avons découvert la passion naturelle de Philippe pour l'électricité embarquée.
Nous sommes allés tester l'engin le plus en vogue du moment ; la trottinette électrique. Cet engin, idéal pour l'environnement, est un véritable moyen de parcourir les paysages altiligériens sans la moindre fatigue. D'une stabilité redoutable, il permet à tous les "éco-sportifs" novices ou experts, de s'adonner au plaisir de la randonnée de façon ludique, sportive ou en mode détente tout en respectant la nature.
Prenez de la hauteur et testez les vingt voies d'escalade du Rocher Tourte.
Nous vous en parlions dans notre découverte du Fin Gras du Mézenc. Le Rocher Tourte à l'attraction macrosismique qui nous faisait face
lors de notre reportage, n'est autre qu'un site exceptionnel pour les grimpeurs et autres varappeurs rompus à ce sport très nature.
Le Château du Thiolent.
Juliette Crouzet de l’agence ARKHES gère, entre autres choses, la communication de quelques châteaux privés locaux, peu connus, voire méconnus en Haute-Loire.
Elle nous propose une aventure anticonformiste que nous avons promptement acceptée afin de conjuguer nos expériences altiligériennes.
Au-dessus des remparts naturels, une Collégiale romane illumine un village médiéval atypique.
Déconfinés que nous sommes et des fourmis plein les jambes, nous avons quitté notre Vivarais-Lignon pour des contrées plus au nord, à la rencontre des contreforts du Livradois-Forez, frontière du Brivadois. Citadelle d'Auzon, nous voilà !
Richard, ancien ébéniste, met en formes son imagination fertile.
Parfois l'artisanat domine l'artiste. Richard Thorron ne se laisse pas dominer. Des mains impatientes guidées par une imagination insatiable le mènent à la réalisation de sculptures contemporaines. Entrons en immersion dans son univers atypique, mais non moins dompté.
D'ancien métier, il en est un que François-Christophe Januel exerce avec passion et talent.
La Haute-Loire possède un patrimoine très riche, mais il se peut que celui, dont nous allons vous parler, soit peu ou mal connu. L'architecture vernaculaire est souvent la preuve qu'ici se jouent des métiers mystérieux et pourtant visibles à chaque coin du département. Nous avons rencontré François-Christophe Januel et il nous a présenté son métier, celui de murailler.
Ce métier artisanal et artistique consiste à bâtir des ouvrages en pierres sèches. Ce qui signifie tout simplement qu'il n'y a aucun mortier pour lier les pierres entre elles.
Tout réside dans l'art de les choisir, de les positionner et de les caler.
Partons à la découverte de ce métier d'antan qui fait un retour en force dans le milieu de l'artisanat.
Il existe des sensibilités qui nous sont étrangères, souvent ressenties, mais rarement ostensibles.
C'est là que tout commence, l'émulsion se fait ici, en grande partie grâce au village et ses habitants. Vinciane Liners nous a ouvert ses portes à Saint-Privat-d'Allier. Elle décode pour nous la manière dont certaines sensibilités forestières se manifestent lorsqu'elle explore le magnétisme des rives du Rouchoux, ruisseau de son état, mais non moins tumultueux par son énergie débordante.
Aucun doute possible, la Haute-Loire a son inimitable génie
Vous le savez, chez Altilimag, nous ne croyons plus depuis longtemps aux hasardeuses rencontres. Le tissu artisanal local est d’une telle richesse que nous remercions tout particulièrement les passionnés que nous avons découverts et dont nous vous avons conté les talentueuses aventures.
Une fois de plus, nous avons été dirigés vers un artisan par la voix d'un autre. Il faut le croire, c'est là toute l'essence de la définition du mot entraide locale.
Sortez les flotteurs, chaussez vos palmes, échauffez vos coudes, hydratez-vous,
désaltérez-vous en Haute-Loire.
On commence à entendre parler d'un été qui sera sec et chaud sur la plupart des régions de France. Nous nous sommes dits, que peut-être, vous aimeriez un reportage aquatique entre
cascades, plans d'eau, naissance d'un fleuve, rivières de Haute-Loire pour commencer à imaginer où vous irez vous rafraîchir pendant votre saison estivale.
Le Testavoyre
Ce suc phonolitique aux multiples facettes, point culminant situé au cœur du massif du Meygal, vous offre un choix étendu de vues imprenables à plus de 1 400 m au-dessus du niveau de la mer.
Loin des embouteillages de son compère le Mézenc, vous pourrez observer la foisonnante population de papillons qui n’hésite pas un instant à vous couper la route, passant d’un sapin à l’autre...
Suc de Saussac
Le Suc de Saussac, sommet volcanique aux airs endormis, semble, au temps de la préhistoire, avoir fait l’objet de vénérations cultuelles. Du Xème au XIIIème siècle, le suc a été avec son château dominant la vallée, un haut lieu politique, judiciaire et militaire de l'yssingelais. Durant cette période, un bourg fortifié a été construit en son sein et il devient alors la principale agglomération d’habitats du pays des sucs. L'association Les Amis du site de Saussac préserve le lieu et l'aménage peu à peu au travers de leurs fouilles archéologiques.
Serrez vos plumes, Bruno déploie ses aigles.
Bruno Habauzit, comme un Gaulois, est tombé dedans quand il était petit ! Ébahi devant la beauté de ces oiseaux si particuliers et enivré par une première expérience à l’âge de 8 ans, il a su dès cet instant magique que la fauconnerie
serait le fil conducteur de sa vie. Il nous présente avec passion son amour pour les rapaces et ce qu’ils ont de si important à nous apprendre d’eux.
Le conservateur du musée de la Résistance
Joseph Lhomenède nous invite de nouveau à
découvrir un "petit bout" de la seconde partie
de la collection de l'association du musée.
Comment ne pas craquer quand un trésor de guerre ne demande qu’à jouer la star devant nos objectifs ? Vous vous en doutiez depuis le numéro précédent d’Altilimag, nous sommes évidemment retournés sur place pour poursuivre cette aventure incroyable.
Cachée dans un havre de paix bucolique proche de Saint Jeures, Jacques a implanté depuis deux années sa distillerie pas comme les autres. Nous avions entendu parler d'un personnage qui allait élaborer un whisky altiligérien, alors bien entendu nous sommes allés à sa rencontre.
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Comme des crapauds sur des boîtes d'allumettes, partons à la découverte des Mob à Manu.
C'est à Chilhac, au restaurant L'Embuscade, lors de la livraison de votre magazine, que nous faisons la connaissance de Cathy. Le temps d'un bon café matinal et des présentations respectives, Cathy nous parle de Manu, son compagnon. Il loue des "mob", nous dit-elle. Comprenez ici des mobylettes.
Entre deux ruches, il peut y avoir un monde de différences.
Il y a quelques mois, nous vous parlions de nos amies les abeilles et de quelle manière l'homme intervenait dans la destruction de son milieu naturel, mais également dans sa préservation. En ces temps où le mot néonicotinoïdes est presque sur toutes les lèvres du monde apicole, mais pas seulement ; ceux qui vivent avec l'écologie en toile de fond y sont aussi très attentifs, nous avons souhaité aborder à nouveau ce sujet, sur son versant professionnel cette fois-ci.
Ce n'est pas tous les jours que nous sommes invités à visiter les dessous de La SLIP.
C'est vrai que le nom de cette joyeuse troupe est de prime abord confusant, mais il ne faudra pas vous laisser aller à l'euphorie d'un jeu de mots laid. Nous avons pu participer, le temps d'une soirée très expressive, aux retrouvailles post-confinement des membres de La Sympathique Ligue d'Improvisation Ponote – La SLIP. Croyez-nous, l'aventure a été si intense que larmes de joie et de rire étaient au rendez-vous.