Des insectes peu ordinaires et pourtant si fragiles ; rencontre avec Label Ruche au Puy-en-Velay.
Tout le monde le sait ! Aujourd’hui plus que jamais nous devons sauver nos abeilles, il en va de notre bien-être et de notre avenir ! Chacun y va de sa veille personnelle, mais qui est en mesure d’apporter des solutions pérennes pour la préservation de nos petites bêtes ? Nous avons rencontré Aurore et Frédéric TREILLE, les créateurs de Label Ruche au Puy-en-Velay. Frédéric passionné de toujours par ces “petites bêtes qui piquent” passe à l’action. Si pour beaucoup il est un apiculteur comme les autres, il n’en met pas moins son énergie au profit de la préservation de cet insecte endémique. Mais nous sommes loin de sa vision des choses et du déploiement d’actions que lui et son épouse Aurore ont su mettre en place pour que tout un chacun puisse, lui aussi, venir en aide à cette indispensable créature volante.
L’histoire et l’insolite réunis autour de la volonté d’un seul homme.
Il aura suffit de la force et de la volonté d’un seul homme pour perpétuer la mémoire d’un lieu et en faire une histoire. Entre émotions anecdotiques et petits repères culturels, Jacques DARNE vous conte, non sans humour, une partie de son parcours hétéroclite pour la restauration de ce lieu quelque peu magique.
Serrez vos plumes, Bruno déploie ses aigles.
Bruno Habauzit, comme un Gaulois, est tombé dedans quand il était petit ! Ébahi devant la beauté de ces oiseaux si particuliers et enivré par une première expérience à l’âge de 8 ans, il a su dès cet instant magique que la fauconnerie
serait le fil conducteur de sa vie. Il nous présente avec passion son amour pour les rapaces et ce qu’ils ont de si important à nous apprendre d’eux.
Aucun doute possible, la Haute-Loire a son inimitable génie
Vous le savez, chez Altilimag, nous ne croyons plus depuis longtemps aux hasardeuses rencontres. Le tissu artisanal local est d’une telle richesse que nous remercions tout particulièrement les passionnés que nous avons découverts et dont nous vous avons conté les talentueuses aventures.
Une fois de plus, nous avons été dirigés vers un artisan par la voix d'un autre. Il faut le croire, c'est là toute l'essence de la définition du mot entraide locale.
Trésor des Mercœur en lumière à Esplantas
Dans le Gévaudan, il n’y a pas que la bête sur qui l’on peut «conter».
De l’an 994 à l’an 1048, Saint Odilon de Mercœur s’illustre en tant qu’Abbé de Cluny en France, mais aussi dans toute l’Europe. Deux cents ans plus tard, au XIIIe siècle, un nouvel Odilon de Mercœur est à la tête de la seigneurie de Saugues. Ce très proche du Roi de France*, Baron de presque toute l’Auvergne devient évêque de Mende en 1247. Malgré ce statut enviable et la puissante famille qu’il représentait au travers des neuf baronnies en son pouvoir, il fit face à des contestations mettant sa légitimité à l’épreuve.
Parfois les chemins empruntés amènent à de surprenantes découvertes.
Notre ami Philippe, Conteur du Mézenc, nous avait appris lors de notre précédente rencontre (voir Altilimag 8 ou article ici) que le fils d’Haroun Tazieff vivait à Chaudeyrolles. Cette nouvelle est explosive dans nos têtes et nous renvoie immédiatement à nos références enfantines, du temps où devant nos camarades de classe élémentaire, nous exposions sur d’épais formats raisins notre travail de recherche à propos des volcans.
Un voyage passion de fil en fil de fer
Nous voici à Raucoules dans le show room de Florence. Nous avions rencontré cette artiste à Tence lors d'un marché artisanal et nous avions été très intrigués par son talentueux travail du fil de fer. Dans son atelier qui est aussi le siège de sa microentreprise créée en 2021, s'affichent aux murs l'ampleur de son patient travail et ses nombreuses idées créatives. Diplômée des Beaux-Arts et technicienne hors pair dans la lingerie féminine c'est de ce savant mélange de savoirs et de son intense créativité qu'est née sa passion pour cet art atypique. Lors d'un concours artisanal dans le Puy-de-Dôme, Florence a décroché le 2e prix du public par le jury et a vendu son œuvre qui représentait le château du village où a eu lieu la compétition. Un encourageant envol pour continuer dans cette voie artisanale de reconversion.
Sur les traces des mines de Langeac
L'histoire parfois tombe dans l'oubli. Seules quelques traces permettent d'imaginer ce qu'était à l'époque ce bassin houiller. Des quais de Langeac en passant par l'ancienne voie ferrée, partez à la rencontre d'une cheminée témoin du passé glorieux des mines de charbon et de fluorine.
Le conservateur du musée de la Résistance
Joseph Lhomenède nous invite de nouveau à
découvrir un "petit bout" de la seconde partie
de la collection de l'association du musée.
Comment ne pas craquer quand un trésor de guerre ne demande qu’à jouer la star devant nos objectifs ? Vous vous en doutiez depuis le numéro précédent d’Altilimag, nous sommes évidemment retournés sur place pour poursuivre cette aventure incroyable.
Sur le terrain de jeu
préféré des champignons
Près du Chambon-sur-Lignon, il y a certains bois qui donnent envie de s'y perdre. Surtout en cette période automnale durant laquelle les champignons se sont faits désirer.
Nous vous avons réservé en ces temps difficiles, une randonnée familiale et très agréable à travers bois et prairies. Beaucoup de chemins annexes pouvant perturber votre sens de l'orientation et bien que le balisage jaune soit très bien fait, nous avons précisé un peu plus les bonnes et mauvaises directions.
Ne vous perdez donc pas, sauf volontairement !
Une tradition du plateau Vivarais-Lignon au bon goût des veillées d'autrefois
L'équipe d'Altilimag a été conviée à une aventure gustative hors du temps. La confection d'un "gâteau protestant" venu tout droit du triangle Mazet-Saint-Voy / Freycenet de Saint-Jeures / Mars. Autrefois, pendant les longues veillées et pour résister au froid piquant de l'hiver, on préparait la Douce. Suivez-nous au cœur de cette appétissante expérience !
La persévérance d’Alexis Chaussinand est au service de l’équilibre naturel des choses.
Les loisirs d'Alexis étaient déjà orientés vers les belles pierres. De celles que l’on polit méticuleusement et qui deviennent des bijoux lumineux dans les mains de cet artiste autodidacte. Il ne sait pas lui-même vraiment pourquoi, mais depuis juin 2019 il s’est curieusement épris d’équilibre et d’art éphémère.
Entre deux ruches, il peut y avoir un monde de différences.
Il y a quelques mois, nous vous parlions de nos amies les abeilles et de quelle manière l'homme intervenait dans la destruction de son milieu naturel, mais également dans sa préservation. En ces temps où le mot néonicotinoïdes est presque sur toutes les lèvres du monde apicole, mais pas seulement ; ceux qui vivent avec l'écologie en toile de fond y sont aussi très attentifs, nous avons souhaité aborder à nouveau ce sujet, sur son versant professionnel cette fois-ci.
Nous sommes allés à la rencontre d’une artisane atypique qui pratique le métier de vitrailliste. Un métier hors du commun et assez rare sur le territoire altiligérien pour que cela nous ait intrigués et donné l’envie d’aller voir de plus près ce qui rayonne autour de ce métier d’art.
Élisabeth Cuffel, animée par les couleurs depuis toujours, ne peut imaginer sa vie sans l’essence chromatique qui l’entoure. C’est lors d’une rencontre avec une vitrailliste qui exposait à la célèbre fête ponote du Roi de L’oiseau, que le déclic s’est produit. Elle décida alors d’allier son besoin continuel de couleur et ce nouvel art qui se propose à ses yeux.
Le Château du Thiolent.
Juliette Crouzet de l’agence ARKHES gère, entre autres choses, la communication de quelques châteaux privés locaux, peu connus, voire méconnus en Haute-Loire.
Elle nous propose une aventure anticonformiste que nous avons promptement acceptée afin de conjuguer nos expériences altiligériennes.
Rudolf Harywald fait de sa volonté un soc d'acier et forge un sillon artisanal altiligérien.
Brut de trempe, C45, XC75, annuler les stress, traitement thermique, normalisation... D'emblée, le ton du bal de Rudolf est donné. Nous sommes à la fois à l'usine, en pleine science-fiction, au moyen-âge et dans les codes confidentiels d'un nouveau modèle automobile.
Rencontre avec Jérôme fervent défenseur de la Jeune Loire, de sa faune et de sa flore.
Guide de rivière diplômé et passionné de nature sauvage, Jérôme Feybesse est ce que l’on peut appeler un ambassadeur de la Jeune Loire ! Ce prestataire d’activités de pleine nature écotouristiques ne se contente pas de fournir des prestations sportives et de loisirs, mais bel et bien de développer un véritable service de guidage pour découvrir les richesses du Fleuve Loire 80 km en aval de sa source !
Richesses qu’il défend bec et ongles afin de laisser aux futures générations un milieu naturel riche et préservé !
Suc de Chapteuil
Ancienne cheminée volcanique, le suc de Chapteuil abrite les vestiges du siège administratif des seigneurs de Chapteuil qu'on appelait les Comtors du Velay. Ils étaient, au Moyen-âge, les Barons les plus puissants des contrées vellave et yssingelaise. Le suc surplombe la belle cité de Saint-Julien-de-Chapteuil ainsi que la vallée capitolienne.
Entre esprit lunaire et paradis des photographes.
Pour l’avoir vécue cette exception géologique en
Haute-Loire est, n’en doutez pas, à vous couper
le souffle. Tantôt vous vous sentirez sur une autre planète, tantôt l’âme d’un artiste photographe vous envahira.
La grotte du Treuil
(de l'Ours pour certains autochtones !)
Dans les très verdoyantes gorges de Saint-Privat-d'Allier se cache une grotte aux multiples histoires locales. Les privatois et privatoises connaissent mieux que quiconque cet endroit magique offert par une nature luxuriante et généreuse. Les lieux étaient prisés durant l'enfance des plus anciens et encore maintenant, à en voir les traces que nous avons découvertes durant notre superbe randonnée. Bien-sûr, nous ne vous la montrerons pas, partez donc à la découverte de cette grotte.